Une souris et des hommes

17 rue de Maubeuge, 75009 | Station vélib’ Carrefour Châteaudun | Dimanche de 10:00 à 19:00

Note globale : 14

Situation : 12  | Cadre : 14 | Accueil : 15 | Ambiance : 14 | Qualité du café : 14

Prix d’un café : 2,10 €

Aux mots croisés du jour :
La meilleure def’ : « Elle est bonne à croquer » pour « dent »

C’est l’histoire de trois amis, une ancienne de Sciences Po et deux informaticiens. Un jour, ils décident de changer de vie. Les deux premiers mettent la main à la pâte et entrent chez Lenôtre et Dalloyau, tandis que le troisième se tourne vers la librairie. En mars 2014, notre trio de trentenaires ouvre sa propre boutique, un lieu qui doit nourrir le corps autant que l’esprit.
Mais au fait, d’où vient son nom ?
« C’est Damien qui l’a trouvé », explique Inès. « Nous en cherchions un qui soit original et lié à la littérature. Comme Régis m’appelait toujours « Souris », Damien a tout de suite pensé au roman de Steinbeck*.»

On est pourtant bien loin ici de la misère et des souffrances humaines.
Tout est reposant et lumineux ! D’inspiration scandinave, la déco blanche et épurée aurait presque des allures de laboratoire, s’il n’y avait le bois des tables et du parquet, les couleurs vives des pâtisseries en vitrine et les nombreux livres (de cuisine, romans ou albums – les plus jeunes ne sont pas oubliés !)

Avec beaucoup de discrétion et de gentillesse, la Souris nous apporte nos cafés, leurs pots à lait de porcelaine blanche et le petit kugelhof à partager.
Des clients passent prendre leur commande ; une maman entre avec sa (volumineuse) poussette se renseigner sur les bons-cadeaux « Cours de cuisine » (avis aux amateurs : si vous voulez devenir experts dans l’utilisation d’une poche à douille, le foisonnement d’une guimauve ou la réalisation d’un streusel, c’est tous les mardis soirs !) … pendant que sa fillette s’extasie devant la petite porte de la souris au pied du comptoir.
Une étudiante s’installe pour une p(r)ose sucrée – cheese-cake (sans gluten) et ordinateur (avec wifi) -, tandis qu’un couple d’américains brunche dans le coin sofa.
Tout est frais, bien présenté et fait maison.

Pour conclure : un lieu INEStimable … qui vous sourit.

www.unesourisetdeshommes.fr

* « Des souris et des hommes»

 




Terrasse Choron

4 rue Choron, 75009 Paris | Station vélib’ au 24 de la même rue |

Dimanche de 9:00 à 2:00

Note globale : 12

Situation : 12  | Cadre : 12| Accueil : 13 | Ambiance : 13 | Qualité du café : 11

Prix d’un café : 2,00 €

Aux mots croisés du jour :
La meilleure def’ : « Fauteur de troubles » pour « émoi »

L’atout principal de « La Terrasse Choron », c’est … sa terrasse !

Impossible de la manquer : au tri-angle des trois rues, elle occupe une belle place. De grands arbres, de beaux pavés, de quoi donner envie de s’y installer ! Du calme aussi : en retrait du trafic, ses tables colorées au milieu de pots de fleurs géants rose fuchsia, lui donnent un charme très provincial. Voilà qui nous change des terrasses parisiennes en plein boulevard !

Même quiétude à l’intérieur, petit mais agréable avec ses pierres à nu, ses baies vitrées cernées d’orange et son sympathique tableau publicitaire pour une marque de fromage, où la célébrissime vache hilare vache arbore des boîtes mises en abyme en guise de boucles d’oreilles : de quoi mettre les plus ronchons d’humeur guillerette !

Des habitués sirotent leur café du jour (un robusta qui arrache : de quoi se lever pour la tartinette !), tandis que les touristes de l’hôtel voisin se sont attablés pour un brunch (classique, mais copieux). Les prix sont raisonnables (pas de quoi bousculer nos portefeuilles !), l’accueil aimable et la musique de fond plutôt énergique : pour l’espace tranquille, monter au premier !

Petit retour en arrière avec le fin mot de l’Histoire : c’est pendant l’été 1960 (particulièrement faste !), et dans l’immeuble plutôt cossu d’en face, qu’une bande de joyeux drilles, fantasques et provocateurs, créa un hebdomadaire à l’humour dérangeant : « Hara Kiri ». Parmi eux, Georget Bernier, plus connu sous le nom   du Professeur Choron … directement inspiré du lieu de naissance de ce fameux canard !

Plus récemment, à la dernière rentrée (s’colère) très exactement, c’est juste à côté que le Syndicat des Enseignants a installé son open space – histoire d’assurer en Rodier ! Nul doute que, pour les class‘croûtes, cette terrasse sera bien placée …

Pour conclure : ici, c’est la vache Kiri !

http://laterrassechoron.fr

 

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Hôtel Amour

8 rue Navarin, 75009 Paris | Station vélib’ rue Clauzel |Dimanche de 8:00 à 2:00

Note globale : 14

Situation : 11  | Cadre : 15| Accueil : 14 | Ambiance : 14 | Qualité du café : 15

Prix d’un café : 2,90 €

Aux mots croisés du jour :
La meilleure def’ : « Signe d’union » pour « Tiret »

 

L’Amour, ce sont cinq lettres lumineuses sur la façade d’un immeuble un peu défraîchi de cette petite rue du IXème où vécurent Truffaut, auteur des « Baisers volés », et Aznavour, chanteur de charme et acteur … dans l’un des films du premier !

L’Amour, c’est avant tout un hôtel comme son nom l’indique ; établissement atypique pour voyageurs ou artistes à l’esprit bohème. Niché sur les hauteurs du quartier Saint Georges, à quelques tours de roues du vacarme et de l’agitation des sex-shops de Pigalle, c’est un véritable havre de tranquillité.

L’Amour, c’est aussi un salon de thé-restaurant dans un cadre enchanteur.

Un lieu hors du temps, avec sa véranda aux plantes exotiques ouvrant sur un patio arrangé de la plus charmante manière. L’eau de la fontaine s’écoule paisiblement, la végétation luxuriante s’étale sur les murs, les arbustes offrent leur ombre bienfaisante : un endroit de rêve pour les belles plantes !

L’Amour, c’est un retour aux années 50, une atmosphère conviviale et une ambiance tamisée, propices à la détente et la sérénité. Le mobilier n’est plus de toute première jeunesse mais les banquettes gentiment patinées invitent les tourtereaux à roucouler face à cet écrin de verdure.

L’Amour, c’est un brunch amical, un café studieux ou un dîner bucolique pour des copines en mode papote, un étudiant connecté ou des amoureux transis. Au service, une jeune équipe, pas forcément efficace mais attentionnée, pour que ce moment reste une jolie parenthèse dans notre journée.

L’Amour n’est pas donné, il a un prix. Mais sans être aveugle, ce jardin exquis à l’abri des regards et du bruit le justifie, pour fêter cet anniversaire qui nous fait chaud au cœur : Amour quand tu nous tiens !

Pour conclure : parlez-moi d’Amour …

www.hotelamourparis.fr

 

 

 

 




Le Smiley

37 rue des Martyrs, 75009 Paris | Station vélib’ 24 rue Choron |Dimanche de 7:00 à 2:00

Note globale : 13

Situation : 12  | Cadre : 13 | Accueil : 13 | Ambiance : 14 | Qualité du café : 13

Prix d’un café : 2,20 €

Aux mots croisés du jour :
La meilleure def’ : « S’il est jaune, il n’est pas fou » pour « Rire »

 

Heure de sommeil en moins, pluie non stop, rue au nom sinistre : ça ne peut que s’arranger ! Les noctambules de chez Michou ont regagné leurs pénates, mais les plus matinaux des autochtones les ont déjà remplacés ; l’ambiance est très animée en ce dimanche matin. Et au retour de leurs courses, certains font une pause « Smiley » dans ce petit bistrot-food plein de pep.

Atmosphère branchée mais bon enfant, service détendu pour ne pas dire décontracté : installé à la table d’hôtes, un jeune couple petit-déjeune au rythme d’une musique reggae, avec un œil sur les images sportives de l’écran mural. Une fois sur notre banquette, on réalise que ce sont eux qui assurent le service !

Café-tartines pour deux … mais il manque les couteaux pour le beurre ?
La serveuse s’étonne : « Ah, bon ? Moi, je l’étale à la cuillère ! », avant de repartir tranquillement nous les chercher. Un legging aussi alvéolé que la baguette, une coiffure-palmier idéale pour éviter la prise de tête capillaire, en voilà une qui est aussi originale que la déco !

Du bas de la rue, on avait repéré en arrivant l’enseigne-pendule jaune-sourire. L’intérieur est plutôt fun lui aussi : ambiance street, couleurs noir et citron, projecteur de cinéma. C’est cool !

Pour accéder sous-sol, un énorme feu règle la circulation devant l’escalier style Eiffel : « Walk »/« Don’t walk ». Et en bas, une surprenante cave voutée. Dommage que la peinture soit si sombre. Ca ne cadre pas avec l’ambiance !

Avec un nom pareil, il y a forcément un happy hour. Bingo ! Il a lieu de 16 h à 21 h et change tous les jours : du double mojito-passion à la chope de Saint-Omer en passant par les coktails aux fruits, il y en a pour tous les goûts … avec au milieu, une guimauve douce et moelleuse pour un retour en enfance !

Pour conclure : un café qui vous donne un coup de jaune.

https://fr-fr.facebook.com/bistrotsmiley

 




Café de la Paix

 5 place de l’Opéra, 75009 | Station vélib’ rue Auber |Dimanche de 7h à 0h00

Note globale : 11

Situation : 14  | Cadre : 14 | Accueil : 6 | Ambiance : 11 | Qualité du café : 10

Prix d’un café : 6,00 €

Aux mots croisés du jour :
La meilleure def’ : « Gardien de la paix » pour « ONU »
Construit par le même Garnier que son voisin l’Opéra, cet établissement de légende fait figure d’enseigne mythique de la capitale depuis le Second Empire.
Dès son ouverture, des écrivains et artistes illustres y ont pris leurs quartiers sous ses plafonds peints et ses élégantes dorures (classés depuis), dans une ambiance toute parisienne, mêlant distinction et convivialité.

Beaucoup de célébrités donc, et de nombreuses anecdotes dont celle-ci :

quand en 1976, Léon Zitrone envoie des invitations pour y fêter son jubilé, Pierre Dac et ses compères du MLF (Mouvement Loufoque Français) décident alors d’en imprimer de fausses qu’ils expédient à tous les concierges du XIXème et autres troupes de cirque et sociétés d’accordéonistes … lesquels se présentent le jour dit avec leur fameux carton !

Aujourd’hui encore, cet établissement a gardé son ambiance feutrée et quelque peu guindée. Mais en dehors de son cadre impérial, difficile de l’apprécier vraiment quand on ne fait pas partie de la haute : dès l’arrivée, on a le sentiment très net de déranger le personnel – ou plutôt impersonnel et limite méprisant. Quant aux prix indiqués sur la carte, ils n’aident pas non plus à se détendre : un véritable coup de fusil pour la Paix !

C’est vrai que nous autres, joueurs de Monopoly patentés, aurions pu nous douter qu’ils seraient prohibitifs, mais on pouvait quand même espérer que le café soit à la hauteur : or, il n’a aucune saveur ni longueur en bouche. Même le biscuit qui l’accompagne est médiocre. Et si la tasse arbore le chiffre (ou logo) de la maison, elle n’en est pas moins tristement banale.

Le prestige du lieu et son décorum ne suffisent donc pas et d’ailleurs, à part quelques touristes aussi surpris que nous par l’addition, la salle est plutôt déserte. La terrasse aussi qui donne directement sur les pots d’échappement de cette place ô combien bruyante : un signe qui ne trompe pas …

Pour conclure : guère et Paix !

www.cafedelapaix.fr

 




Le Brébant

32 bd Poissonnière, 75009 | Station Vélib’ au 42 rue Vivienne |Dimanche de 8h00 à 5h00

Note globale : 12

Situation : 12  | Cadre : 15 | Accueil : 7 | Ambiance : 12 | Qualité du café : 13

Prix d’un café : 3,10 €

Aux mots croisés du jour :
La meilleure def’: « Arrive après coup » pour « Aïe »

 

A deux pas des théâtres, une brasserie ouverte non-stop ou quasi, devenue une institution et le repère des lève-tôt autant que des oiseaux de nuit, des salariés ou des touristes. Ce matin, surtout les seconds : des asiatiques, des anglais, des latino-américains, c’est un flux ininterrompu.

A l’intérieur, un cadre rénové voici 8 ans, assez étrange mais plutôt réussi : mélange de bistrot à l’ancienne avec moulures rococos, boiseries et long zinc de cuivre, éclairé par une forêt d’ampoules bariolées suspendues à des conduits d’aluminium – façon déco post-industrielle.

Manque de chance, les chaises sont encore sur les tables : pour être assis, direction la terrasse.

Grande et couverte, elle ne manque pas d’atouts : outre ses chaises cannelées multicolores, sa situation stratégique permet d’observer la foule cosmopolite qui arpente le grand boulevard. Pas une oasis de verdure toutefois, ni encore moins de zénitude.

Et pour couronner le tout, on hérite de la jeune et désagréable serveuse (son collègue en tenue traditionnelle de limonadier a l’air nettement plus amène !) : pas un mot ni un sourire, juste un service mécanique : mauvaise pioche ! Nos voisins étrangers en font aussi les frais : elle s’agace de leurs hésitations. L’établissement a ouvert depuis moins d’une heure, pauvres de ceux qui prendront place à la fin de son service !

On plonge dans la carte. Conçue comme une pièce de théâtre, elle suggère aux consommateurs de ne pas hésiter à faire appel à leurs « souffleurs » pour un conseil. C’est vrai qu’on n’hésite pas : on n’a surtout pas envie de demander quoi que ce soit !

Pour conclure : Un bel écrin mais une serveuse à cran.

http://www.cafelebrebantparis.com

 

 

 

 




Musée de la vie romantique

16 rue Chaptal, 75009 | Station Vélib’ 4 rue Moncey |Dimanche de 10h00 à 18 h00,

de la mi-mars à la mi-octobre

Note globale : 15

Situation : 13  | Cadre : 17| Accueil : 17 | Ambiance : 16 | Qualité du café : 12

Prix d’un café : 2,00 €

Aux mots croisés du jour :
La meilleure def’: « Elle expose ses toiles au jardin » pour « Epeire »

 

A mi-chemin des sex-shops de Blanche et des petites femmes de Pigalle, une petite allée discrète et pavée. Au bout, la ravissante demeure d’un peintre transformée en musée, avec tout autour, une cour, des ateliers d’artistes et un adorable jardinet : de quoi renouer avec le romantisme !

Au fond, la serre abrite un salon de thé microscopique proposant boissons, tartes et salades. Thés et cafés sont de qualité, mais servis sur des plateaux (comme au self !) et dans des gobelets en carton, avec, pour remuer, une sorte de tire-langue en bois : bonjour la poésie !

Heureusement, la serveuse est souriante et aimable. Un touriste lui tend une (très) grosse coupure pour un simple thé ? Elle rend tranquillement la monnaie sans se départir de son calme. A côté, Le ruissellement de la fontaine contribue à procurer un sentiment de quiétude et d’apaisement.

Mais c’est à l’extérieur qu’on est le mieux : à l’ombre des arbres, quelques tables et chaises en fer forgé d’un délicat vert bouteille nous accueillent au milieu des rosiers. Des gravillons blancs crissent sous nos pas …

Main dans la main, un couple se dévore des yeux, tandis qu’une jeune fille est plongée dans « Les affinités électives ». Un peu plus loin, un trio commente le dernier brûlot de l’ex-concubine du Président : nettement moins romanesque !

D’autres pianotent sur leur ordinateur ou se laissent tout simplement aller à la rêverie. L’endroit s’y prête : le temps s’écoule délicieusement. Loin du tumulte de la ville, on a le sentiment d’être coupé du monde dans cette oasis de verdure : une jolie parenthèse pour le prix d’un café.

Pour conclure : un jardin très Rome antique pour muser.

http://www.cafe-vie-romantique.com

 

 




Le Déli-cieux

66 bd Haussmann, 75009 | 4 stations vélib’ de l’autre côté du boulevard | Dimanche avant Noël de 10:00 à 19:00 | De 9h 30 à 20h, nocturne jusqu’à 22h le jeudi

Note globale : 15

Situation : 19  | Cadre : 12| Accueil : 15 | Ambiance : 14 | Qualité du café : 15

Prix d’un café : 2,00 €

Aux mots croisés du jour :
La meilleure def’: « Femme stupide » pour « Dinde »

Non, on n’a pas rejoint nos amis Montréalais au 5665 de la Côte des Neiges, mais simplement enquillé les escalators du Printemps de la Maison pour atteindre son toit. D’aucuns parlent du 7ème ciel : ici, il est au 9ème !

De la cafétéria installée comme une boîte de verre entre ciel et terre, on aperçoit la dame de fer à travers les larges baies vitrées. Déco simple et épurée – le must est à l’extérieur ! -, en bleu et blanc, pour se sentir encore plus au cœur des nuages …

Dehors, terrasse en teck bien aménagée : verdure, mobilier immaculé avec même des transats l’été. Quelques bancs sur le côté où l’on peut s’installer sans avoir besoin de consommer (au soleil à partir de midi !) Par contre, fumeurs attention : même à l’extérieur, impossible de s’en griller une. Mais si l’on vient ici, c’est pour la vue : elle est à couper le souffle ! Au-delà d’une mer de toits, on distingue les principaux monuments parisiens : l’Opéra, la Madeleine, les Invalides, l’Arc de triomphe, le Sacré Cœur, la tour Eiffel et d’autres encore qu’on s’amuse à repérer. En bas, les passants se pressent pour les derniers achats de Noël comme de minuscules fourmis …

Après une virée shopping, voila l’endroit idéal pour une pause-café, un repas sur le pouce, un goû-thé de crêpes ou de gaufres, ou un apéritif au (coucher du) soleil – à condition d’arriver très tôt pour le midi et d’éviter le samedi ! La restauration est en libre service avec une offre de produits limitée mais plus que correcte côté prix compte tenu de la situation exceptionnelle. Rien à dire non plus côté accueil : agréable, discret et efficace !

Pour conclure : une vue terrassante …

http://www.linternaute.com/restaurant/restaurant/10948/deli-cieux.shtml